Mardi 29 septembre
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Je vais maintenant vous dévoiler comment je me suis fait sodomiser la 1ère fois.
C'était un samedi, la nuit était bien avancée, il devait être autour de 2h du mat, l'heure où l'affluence des bois est à son comble. Je décide donc, comme la fois précédente, de stationner avec mes
phares en veilleuse, et cette fois, j'ai dégraffé mon pantalon pour pouvoir commencer à me caresser en attendant l'élu.
Cela faisait 10 minutes que j'étais là, dans ma voiture, me caressant, lorsqu'après quelques véhicules de "curieux" un monospace vint se garer le long de ma voiture. Il en sortit un homme, d'une
bonne quarantaine d'année, black, plutôt bien foutu qui vient directement à ma fenêtre et me demande aussi sec : "tu me suis, j'ai envie d'un cul de blanc". La surprise, mêlée à l'excitation ont eu
raison de ma peur à suivre cet homme qui dans un autre environnement aurait tout eu de louche, et qu'on aurait pas du tout eu envie de suivre.
Nous quittons donc notre aire de stationnement, et c'est placé derrière son véhicule que nous roulions à vive allure, à travers forêt pour aller trouver une allée isolée dans laquelle nous
pourrions jouir (!) de notre solitude sans retenue. On s'est donc arretés sur une allée, vraiment déserte et l'homme m'a invité dans so voiture, qui est quand même très bien pusiqu'en tant que
monospace, on peut baisser les 3 sièges du milieu pour faire presque un lit double.
Comme la dernière fois, j'étais actif, j'avais pu voir comment un passif procède pour obtenir ce qu'il souhaite. J'ai donc entrepris de m'occuper du pantalon et slip (!) de mon partenaire, et en
enlevant tout ça, j'ai découvert une bite, au repos, noire (ma première), et vraiment pas grande. J'en étais presque déçu mais bien motivé tout de même, j'ai saisi sa queue entre quelques doigts et
ai commencé à le masturber, doucement, puis à venir lecher doucement ses couilles et le long de sa verge. Qui a commencé à grossir. Et grandir. Au bout de quelques instants, son membre avait pris
déjà pas mal de volume, et je me suis donc dit que monsieur était prêt à ce que je le suce gouluement... Je lui enfile une capote que j'essuie aussitôt pour ne pas avoir l'impression de sucer du
plastique, et à sucer cette verge d'étalon, avec un peu de maladresse mais beaucoup d'appétit. Et cette bite qui n'en finissait pas de grandir, et sans savoir vraiment juger de la taille d'une
bite, ce mec était vraiment bien monté, très longue et bien large finalement.
Pendant que j'essayais d'engouffrer cette bite au plus profond de ma gorge, je commençais à préparer mon trou pour qu'il puisse accueillir cet homme en moi. Il était alors allongé sur le dos, sa
queue raide comme un tronc, et commença à me parler comme à une salope. La honte qui m'envahit alors me rendit rouge comme une tomate, et, voyant ça, l'homme continua à me dire que j'aime la bite,
que je suis une salope, et qu'il va m'éclater mon cul... La honte fit peu à peu place à un regain d'excitation, et c'est dans cet état de quasi transe que je viens m'assoir sur l'homme, sur le haut
de sa bite, en essayant de la faire rentrer sans trop de douleur. Je viens donc poser mon trou lubrifié sur son gland qui rentra assez facilement et rapidement, et s'enfonça petit à petit en moi.
Tout en m'encourageant à avaler sa bite avec mon cul, il se mit à me pincer les tétons, tranquillement au départ, puis de plus en plus fort.
Tandis que sa bite avait été accepté par mon intimité, je me lançais dans une chevauchée infernale pendant laquelle je me sentais vraiment "pris", sa bite tellement grande me permettait une grande
amplitude de mes va-et-vient, je pouvais sentir le gland arriver dans un anneau intestinale, mélangeant la douleur avec l'excitation. Cela dura quelques minutes pendant lesquelles je perdais toute
notion de temps, d'espace, de relativité, et je me laissais vraiment aller avant que l'homme se mette à me masturber d'une main, il collait ma queue à son ventre, tout en continuant à travailler
mes tétons. J4allais de plus en plus vite, de plus en plus fort dans ma cadence de limage, et cette accélération se sentait aussi autour de ma bite qu'il branlait également de plus en plus
vite.
Je voyais que l'homme se rapprochait de l'éjaculation (et moi aussi), alors j'ai ralentis le rythme, en essayant de faire bouger sa queue dans mon cul, avec des mouvement de rotation, d'avant en
arrière, et voyant que ça prenait, j'ai continué et lui à me branler aussi. J'ai avoué avoir envie de jouir et c'est en glissant ces mots qu'il se raidit tout d'un coup et me mis une énorme poussée
dans le cul. Ce fut tellement franc que j'en ai presque eu mal mais j'ai bien vite compris qu'il était en train de jouir en moi, et je pouvais même sentir la pression de sa giclée dans ma paroi
anale. J'ai joui assitôt, mais pas en gros jet comme quand on se masturbe, plutôt comme un robinet qu'on ouvre et qui coule lentement. Je sentais mes muscles se contracter et pourtant pas d'accoups
dans mon éjaculation, juste un filet de sperme, généreux, qui coulait sur la main de l'homme, et sur son ventre. Je n'ai pas pu faire autrement que de m'affaler sur lui, epuisé, défoncé, éclaté,
mais tellement libéré par mon premier orgasme anal...
Après une brève toilette, l'homme me dit qu'il s'est vraiment éclaté, je lui rend la politesse et m'avoue à moi-même que dès que j'en aurais l'occasion, je réessayerai d'aller me faire prendre par
un black. Il savait vraiment y faire, avait une queue démesurée, il m'a tout simplement fait monter au 7ème ciel...