Le blog de jhlib69
Nous y voici, je vais vous raconter comment j'ai franchi le cap de ma bisexualité.
Après ces quelques années de jeux avec mon trou, mon esprit se mit à me titiller se demandant si j'avais un intérêt quelconque pour le sexe masculin. Jamais, ô grand jamais je n'aurai imaginé ça quelques années plus tôt lors de mes premiers flirts collégiens et lycéens, mais bon, on est comme on est.
Là où je vivais à l'époque, il y a un coin réputé pour sa fréquentation nocturne d'homme en mal de bites. J'y étais déjà passé plusieurs fois, juste devant et j'avais en effet pu constater un balai de phares errants, d'hommes seuls dans leur voiture, à roder en espérant trouver chaussure à son pied, ou plutôt bite à son cul.
Il m'aura fallu quelques fois pour parvenir à m'y garer, comme tous les autres, en veilleuse, attendant qu'un homme moins timide que moi vienne à me fenetre et me demande ce que je cherche. Outre l'aspect glauque de la chose, j'étais terriblement excité à l'idée de savoir que mon tour allait venir. Il vint.
Cet homme arriva donc à ma fenetre, que je baissait pour lui faire comprendre que j'étais tout disposé à engager le contact. Il me dit alors qu'il était plutôt passif, ce qui m'allait bien. Je préférais tout de même, pour ma première fois, mettre ma bite dans un trou plutôt que l'inverse. On est donc parti ensemble vers une table de picnic où, de but en blanc, l'homme se mit à genou et entreprit de me baisser pantalon et calecon pour engouffrer ma bite dans sa bouche. Commença alors une longue, belle, douce et sensuelle pipe dont j'en frissonne encore, rien que d'y repenser. Au bout de quelques minutes, l'homme me glissa doucement ces mots : "tu veux me prendre ?". J'en aurai éjaculé si je n'étais pas aussi stressé.
Il s'allongea alors sur la table, ota sous vetements, lubrifia son trou pendant que je m'ornais d'une capote. Quel moment ! Je dégustais le spectacle de son trou offert, et de ma bite en lentement et maladroitement jusqu'à l'instant ultime où me gland se colla sur la rondelle, qui s'ouvrit tellement que j'entra d'un coup jusqu'au plus profond de son anus. Comme je pouvais voir sa bite durcissant, tout en le limant je le branlais. Il n'aura pas fallu longtemps avant que le sente venir, et moi avec, et c'est dans un assaut bien rythmé, voir bestial que me défonçais son cul en sentant le sperme se concentrer dans mes couilles avant que la pression, trop forte, lache et que je jouisse en lui. Il a joui pesque en meme temps, et j'ai donc pu admirer une bite qui n'était pas mienne, dans ma main, juter goulument sur le ventre de l'homme, glissant un peu sur mes doigts.
C'est un moment genial dans la decouverte de soi. On s'est quitté à peu près aussi rapidement qu'on s'est rencontrés et c'est la tete pleine de jolies visions que je m'en alla me coucher.
Bientôt, je vous raconte ma première bite dans le cul
Après ces quelques années de jeux avec mon trou, mon esprit se mit à me titiller se demandant si j'avais un intérêt quelconque pour le sexe masculin. Jamais, ô grand jamais je n'aurai imaginé ça quelques années plus tôt lors de mes premiers flirts collégiens et lycéens, mais bon, on est comme on est.
Là où je vivais à l'époque, il y a un coin réputé pour sa fréquentation nocturne d'homme en mal de bites. J'y étais déjà passé plusieurs fois, juste devant et j'avais en effet pu constater un balai de phares errants, d'hommes seuls dans leur voiture, à roder en espérant trouver chaussure à son pied, ou plutôt bite à son cul.
Il m'aura fallu quelques fois pour parvenir à m'y garer, comme tous les autres, en veilleuse, attendant qu'un homme moins timide que moi vienne à me fenetre et me demande ce que je cherche. Outre l'aspect glauque de la chose, j'étais terriblement excité à l'idée de savoir que mon tour allait venir. Il vint.
Cet homme arriva donc à ma fenetre, que je baissait pour lui faire comprendre que j'étais tout disposé à engager le contact. Il me dit alors qu'il était plutôt passif, ce qui m'allait bien. Je préférais tout de même, pour ma première fois, mettre ma bite dans un trou plutôt que l'inverse. On est donc parti ensemble vers une table de picnic où, de but en blanc, l'homme se mit à genou et entreprit de me baisser pantalon et calecon pour engouffrer ma bite dans sa bouche. Commença alors une longue, belle, douce et sensuelle pipe dont j'en frissonne encore, rien que d'y repenser. Au bout de quelques minutes, l'homme me glissa doucement ces mots : "tu veux me prendre ?". J'en aurai éjaculé si je n'étais pas aussi stressé.
Il s'allongea alors sur la table, ota sous vetements, lubrifia son trou pendant que je m'ornais d'une capote. Quel moment ! Je dégustais le spectacle de son trou offert, et de ma bite en lentement et maladroitement jusqu'à l'instant ultime où me gland se colla sur la rondelle, qui s'ouvrit tellement que j'entra d'un coup jusqu'au plus profond de son anus. Comme je pouvais voir sa bite durcissant, tout en le limant je le branlais. Il n'aura pas fallu longtemps avant que le sente venir, et moi avec, et c'est dans un assaut bien rythmé, voir bestial que me défonçais son cul en sentant le sperme se concentrer dans mes couilles avant que la pression, trop forte, lache et que je jouisse en lui. Il a joui pesque en meme temps, et j'ai donc pu admirer une bite qui n'était pas mienne, dans ma main, juter goulument sur le ventre de l'homme, glissant un peu sur mes doigts.
C'est un moment genial dans la decouverte de soi. On s'est quitté à peu près aussi rapidement qu'on s'est rencontrés et c'est la tete pleine de jolies visions que je m'en alla me coucher.
Bientôt, je vous raconte ma première bite dans le cul
Ven 25 sep 2009
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