Le blog de jhlib69
Je vais maintenant vous dévoiler comment je me suis fait sodomiser la 1ère fois.
C'était un samedi, la nuit était bien avancée, il devait être autour de 2h du mat, l'heure où l'affluence des bois est à son comble. Je décide donc, comme la fois précédente, de stationner avec mes phares en veilleuse, et cette fois, j'ai dégraffé mon pantalon pour pouvoir commencer à me caresser en attendant l'élu.
Cela faisait 10 minutes que j'étais là, dans ma voiture, me caressant, lorsqu'après quelques véhicules de "curieux" un monospace vint se garer le long de ma voiture. Il en sortit un homme, d'une bonne quarantaine d'année, black, plutôt bien foutu qui vient directement à ma fenêtre et me demande aussi sec : "tu me suis, j'ai envie d'un cul de blanc". La surprise, mêlée à l'excitation ont eu raison de ma peur à suivre cet homme qui dans un autre environnement aurait tout eu de louche, et qu'on aurait pas du tout eu envie de suivre.
Nous quittons donc notre aire de stationnement, et c'est placé derrière son véhicule que nous roulions à vive allure, à travers forêt pour aller trouver une allée isolée dans laquelle nous pourrions jouir (!) de notre solitude sans retenue. On s'est donc arretés sur une allée, vraiment déserte et l'homme m'a invité dans so voiture, qui est quand même très bien pusiqu'en tant que monospace, on peut baisser les 3 sièges du milieu pour faire presque un lit double.
Comme la dernière fois, j'étais actif, j'avais pu voir comment un passif procède pour obtenir ce qu'il souhaite. J'ai donc entrepris de m'occuper du pantalon et slip (!) de mon partenaire, et en enlevant tout ça, j'ai découvert une bite, au repos, noire (ma première), et vraiment pas grande. J'en étais presque déçu mais bien motivé tout de même, j'ai saisi sa queue entre quelques doigts et ai commencé à le masturber, doucement, puis à venir lecher doucement ses couilles et le long de sa verge. Qui a commencé à grossir. Et grandir. Au bout de quelques instants, son membre avait pris déjà pas mal de volume, et je me suis donc dit que monsieur était prêt à ce que je le suce gouluement... Je lui enfile une capote que j'essuie aussitôt pour ne pas avoir l'impression de sucer du plastique, et à sucer cette verge d'étalon, avec un peu de maladresse mais beaucoup d'appétit. Et cette bite qui n'en finissait pas de grandir, et sans savoir vraiment juger de la taille d'une bite, ce mec était vraiment bien monté, très longue et bien large finalement.
Pendant que j'essayais d'engouffrer cette bite au plus profond de ma gorge, je commençais à préparer mon trou pour qu'il puisse accueillir cet homme en moi. Il était alors allongé sur le dos, sa queue raide comme un tronc, et commença à me parler comme à une salope. La honte qui m'envahit alors me rendit rouge comme une tomate, et, voyant ça, l'homme continua à me dire que j'aime la bite, que je suis une salope, et qu'il va m'éclater mon cul... La honte fit peu à peu place à un regain d'excitation, et c'est dans cet état de quasi transe que je viens m'assoir sur l'homme, sur le haut de sa bite, en essayant de la faire rentrer sans trop de douleur. Je viens donc poser mon trou lubrifié sur son gland qui rentra assez facilement et rapidement, et s'enfonça petit à petit en moi. Tout en m'encourageant à avaler sa bite avec mon cul, il se mit à me pincer les tétons, tranquillement au départ, puis de plus en plus fort.
Tandis que sa bite avait été accepté par mon intimité, je me lançais dans une chevauchée infernale pendant laquelle je me sentais vraiment "pris", sa bite tellement grande me permettait une grande amplitude de mes va-et-vient, je pouvais sentir le gland arriver dans un anneau intestinale, mélangeant la douleur avec l'excitation. Cela dura quelques minutes pendant lesquelles je perdais toute notion de temps, d'espace, de relativité, et je me laissais vraiment aller avant que l'homme se mette à me masturber d'une main, il collait ma queue à son ventre, tout en continuant à travailler mes tétons. J4allais de plus en plus vite, de plus en plus fort dans ma cadence de limage, et cette accélération se sentait aussi autour de ma bite qu'il branlait également de plus en plus vite.
Je voyais que l'homme se rapprochait de l'éjaculation (et moi aussi), alors j'ai ralentis le rythme, en essayant de faire bouger sa queue dans mon cul, avec des mouvement de rotation, d'avant en arrière, et voyant que ça prenait, j'ai continué et lui à me branler aussi. J'ai avoué avoir envie de jouir et c'est en glissant ces mots qu'il se raidit tout d'un coup et me mis une énorme poussée dans le cul. Ce fut tellement franc que j'en ai presque eu mal mais j'ai bien vite compris qu'il était en train de jouir en moi, et je pouvais même sentir la pression de sa giclée dans ma paroi anale. J'ai joui assitôt, mais pas en gros jet comme quand on se masturbe, plutôt comme un robinet qu'on ouvre et qui coule lentement. Je sentais mes muscles se contracter et pourtant pas d'accoups dans mon éjaculation, juste un filet de sperme, généreux, qui coulait sur la main de l'homme, et sur son ventre. Je n'ai pas pu faire autrement que de m'affaler sur lui, epuisé, défoncé, éclaté, mais tellement libéré par mon premier orgasme anal...
Après une brève toilette, l'homme me dit qu'il s'est vraiment éclaté, je lui rend la politesse et m'avoue à moi-même que dès que j'en aurais l'occasion, je réessayerai d'aller me faire prendre par un black. Il savait vraiment y faire, avait une queue démesurée, il m'a tout simplement fait monter au 7ème ciel...
C'était un samedi, la nuit était bien avancée, il devait être autour de 2h du mat, l'heure où l'affluence des bois est à son comble. Je décide donc, comme la fois précédente, de stationner avec mes phares en veilleuse, et cette fois, j'ai dégraffé mon pantalon pour pouvoir commencer à me caresser en attendant l'élu.
Cela faisait 10 minutes que j'étais là, dans ma voiture, me caressant, lorsqu'après quelques véhicules de "curieux" un monospace vint se garer le long de ma voiture. Il en sortit un homme, d'une bonne quarantaine d'année, black, plutôt bien foutu qui vient directement à ma fenêtre et me demande aussi sec : "tu me suis, j'ai envie d'un cul de blanc". La surprise, mêlée à l'excitation ont eu raison de ma peur à suivre cet homme qui dans un autre environnement aurait tout eu de louche, et qu'on aurait pas du tout eu envie de suivre.
Nous quittons donc notre aire de stationnement, et c'est placé derrière son véhicule que nous roulions à vive allure, à travers forêt pour aller trouver une allée isolée dans laquelle nous pourrions jouir (!) de notre solitude sans retenue. On s'est donc arretés sur une allée, vraiment déserte et l'homme m'a invité dans so voiture, qui est quand même très bien pusiqu'en tant que monospace, on peut baisser les 3 sièges du milieu pour faire presque un lit double.
Comme la dernière fois, j'étais actif, j'avais pu voir comment un passif procède pour obtenir ce qu'il souhaite. J'ai donc entrepris de m'occuper du pantalon et slip (!) de mon partenaire, et en enlevant tout ça, j'ai découvert une bite, au repos, noire (ma première), et vraiment pas grande. J'en étais presque déçu mais bien motivé tout de même, j'ai saisi sa queue entre quelques doigts et ai commencé à le masturber, doucement, puis à venir lecher doucement ses couilles et le long de sa verge. Qui a commencé à grossir. Et grandir. Au bout de quelques instants, son membre avait pris déjà pas mal de volume, et je me suis donc dit que monsieur était prêt à ce que je le suce gouluement... Je lui enfile une capote que j'essuie aussitôt pour ne pas avoir l'impression de sucer du plastique, et à sucer cette verge d'étalon, avec un peu de maladresse mais beaucoup d'appétit. Et cette bite qui n'en finissait pas de grandir, et sans savoir vraiment juger de la taille d'une bite, ce mec était vraiment bien monté, très longue et bien large finalement.
Pendant que j'essayais d'engouffrer cette bite au plus profond de ma gorge, je commençais à préparer mon trou pour qu'il puisse accueillir cet homme en moi. Il était alors allongé sur le dos, sa queue raide comme un tronc, et commença à me parler comme à une salope. La honte qui m'envahit alors me rendit rouge comme une tomate, et, voyant ça, l'homme continua à me dire que j'aime la bite, que je suis une salope, et qu'il va m'éclater mon cul... La honte fit peu à peu place à un regain d'excitation, et c'est dans cet état de quasi transe que je viens m'assoir sur l'homme, sur le haut de sa bite, en essayant de la faire rentrer sans trop de douleur. Je viens donc poser mon trou lubrifié sur son gland qui rentra assez facilement et rapidement, et s'enfonça petit à petit en moi. Tout en m'encourageant à avaler sa bite avec mon cul, il se mit à me pincer les tétons, tranquillement au départ, puis de plus en plus fort.
Tandis que sa bite avait été accepté par mon intimité, je me lançais dans une chevauchée infernale pendant laquelle je me sentais vraiment "pris", sa bite tellement grande me permettait une grande amplitude de mes va-et-vient, je pouvais sentir le gland arriver dans un anneau intestinale, mélangeant la douleur avec l'excitation. Cela dura quelques minutes pendant lesquelles je perdais toute notion de temps, d'espace, de relativité, et je me laissais vraiment aller avant que l'homme se mette à me masturber d'une main, il collait ma queue à son ventre, tout en continuant à travailler mes tétons. J4allais de plus en plus vite, de plus en plus fort dans ma cadence de limage, et cette accélération se sentait aussi autour de ma bite qu'il branlait également de plus en plus vite.
Je voyais que l'homme se rapprochait de l'éjaculation (et moi aussi), alors j'ai ralentis le rythme, en essayant de faire bouger sa queue dans mon cul, avec des mouvement de rotation, d'avant en arrière, et voyant que ça prenait, j'ai continué et lui à me branler aussi. J'ai avoué avoir envie de jouir et c'est en glissant ces mots qu'il se raidit tout d'un coup et me mis une énorme poussée dans le cul. Ce fut tellement franc que j'en ai presque eu mal mais j'ai bien vite compris qu'il était en train de jouir en moi, et je pouvais même sentir la pression de sa giclée dans ma paroi anale. J'ai joui assitôt, mais pas en gros jet comme quand on se masturbe, plutôt comme un robinet qu'on ouvre et qui coule lentement. Je sentais mes muscles se contracter et pourtant pas d'accoups dans mon éjaculation, juste un filet de sperme, généreux, qui coulait sur la main de l'homme, et sur son ventre. Je n'ai pas pu faire autrement que de m'affaler sur lui, epuisé, défoncé, éclaté, mais tellement libéré par mon premier orgasme anal...
Après une brève toilette, l'homme me dit qu'il s'est vraiment éclaté, je lui rend la politesse et m'avoue à moi-même que dès que j'en aurais l'occasion, je réessayerai d'aller me faire prendre par un black. Il savait vraiment y faire, avait une queue démesurée, il m'a tout simplement fait monter au 7ème ciel...
Mar 29 sep 2009
2 commentaires
Très excitant !! J'adore aussi les blacks, les arabes aussi ont de bonnes bites !! Et dans les bois, c'est toujours génial !
fuckme - le 30/04/2012 à 11h10
génial, je n'en suis pas à ma première sodomie, j'adore, mais j'avoue que je n'ai jamais fait ça avec un noir - j'aimerai pourtant bien - car la seule et unique fois ou j'ai vu un noir nu, c'était
à l'armèe sous les douches - et quand j'ai vu son chibre (au repos), je me suis retourné de honte avec ma petite bite de blanc qui sous l'eau ne devait mesurer que 3 à 4 cm, alors que la sienne me
paraissait énorme...
bouffecul - le 21/03/2013 à 09h41